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Vacances aux Pays-Bas : amitié et partage

Mis à jour le par import
Du 17 juillet au 2 août, en partenariat avec l'association Europa Kinderhulp, les enfants accompagnés par le SPF vont pouvoir faire de nouvelles rencontres

Du 17 juillet au 2 août, en partenariat avec l'association Europa Kinderhulp et le soutien de Thalys, 70 enfants accueillis par le SPF sont partis en vacances direction Rotterdam et Amsterdam, aux Pays-Bas.

Ce mardi 17 juillet, gare du Nord, à Paris, 70 enfants sont montés dans le Thalys, le train rouge à grande vitesse, direction Rotterdam et Amsterdam pour rejoindre les familles de vacances néerlandaises qui les reçoivent deux semaines. Du 17 juillet au 2 août en partenariat avec l’association Europa Kinderhulp, les enfant accompagnés par le SPF pourront s’évader et faire de nouvelles rencontres. Certains petits vacanciers, comme Clara, 12 ans, sont déjà partis les années précédentes et ont tissé des liens d’amitié avec les familles.  » C »est la quatrième fois que je pars avec le SPF en Hollande. La première fois, j’avais 8 ans. J’avais mal dormi la nuit avant le départ. C’était la première fois que je partais sans mes parents. Et je ne regrette pas. Là-bas, je fais du vélo, je vais à la piscine, je rencontre plein de gens, j’ai même appris un peu le néerlandais ».

Thalys partenaire du SPF

« Nous sommes très heureux de soutenir le Secours populaire français et de mettre à disposition des billets aller-retour pour les enfants et pour les accompagnateurs », déclare Armelle Weber, responsable des partenariats chez Thalys. Plusieurs salariés de l’entreprise étaient venus prêter main forte pour l’accueil à la gare et pendant le voyage, où deux clowns ont amusé de leur pitreries petits et grands.

Les vacances sont un droit

« C’est toujours avec le même plaisir que j’assiste au départ en vacances de ces gosses », affirme Julien Lauprêtre, président du Secours populaire français. Alors qu’un enfant sur trois ne part toujours pas en vacances en France, le SPF et son mouvement d’enfants « copain du Monde » considèrent qu’elles ne sont pas un luxe, mais un droit. C’est pourquoi l’association se mobilise tout au long de l’année et a besoin d’argent pour permettre au plus grand nombre de connaître les joies du départ et de revenir à la maison des souvenirs plein la tête.

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