Campagne « pauvreté – précarité »
Alerter sur la pauvreté
La pauvreté ne cesse de s’enraciner. En septembre, alors que la rentrée est toujours compliquée pour les familles en difficulté, le Secours populaire lance sa campagne « Pauvreté – Précarité ». Un temps pour alerter sur la pauvreté et la précarité qui gagnent du terrain en France, en Europe et dans le monde, notamment via le Baromètre Ipsos – Secours populaire, et multiplier les initiatives afin de collecter les ressources pour venir en aide aux personnes confrontées à des situations de détresse et de privation.
Au plus près des personnes en difficulté
Cette campagne est une lumière posée sur l’action conduite par les bénévoles tous les jours de l’année, partout, afin de venir en aide aux personnes les plus en difficulté. Au sein des permanences d’accueil de l’association ou au volant des Solidaribus, c’est au plus près des personnes en difficulté que les bénévoles du Secours populaire viennent se porter. Après l’indispensable écoute et la précieuses chaleur humaine, se met en place tout un volant d’aides, qui permettront de reprendre pied, retrouver espoir : aide alimentaire, aide matérielle, accès aux droits (santé, emploi, logement, etc.), accès aux sports, à la culture…
A la rentrée, les bénévoles se mobilisent particulièrement pour que les enfants de familles en situation de précarité puissent débuter l’année scolaire dans de bonnes conditions. Distribution de fournitures scolaires, mise à disposition d’ordinateurs, aide au financement de licences sportives, accès à des assurances scolaires : le Secours populaire met tout en place pour que les inégalités sociales ne soient pas un frein à l’accès à la connaissance.
Le coût de la rentrée impacte aussi les étudiants, c’est pourquoi le Secours populaire met en place des permanences dédiées les mercredis soirs tout au long de l’année.
Le dire pour agir
La campagne « pauvreté – précarité » est l’occasion de mettre en valeur le courage des personnes touchées par la pauvreté et la précarité. Grâce à la démarche « le dire pour agir », elles peuvent se rencontrer, créer du collectif, prendre la parole et, ensemble, passer à l’action.