Nous habitons tous la même planète !

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Niger - Bibliothèque de l'école de Timia - Avril 2019
Au début du mois de mars, nous avions prévu de rédiger cet article pour le lancement de la campagne « Printemps de la solidarité mondiale ». A ce moment-là nous nous réjouissions de l’arrivée du printemps et du lancement de notre campagne.
La pandémie nous a amenés à agir localement et à effectifs réduits. L’ensemble des activités du Secours populaire a été suspendu pour respecter les mesures sanitaires.
Mais nous avons poursuivi nos contacts avec nos partenaires tant pour la mise en place des actions programmées pour 2020 que pour nous informer de l’état de santé des populations. Vous trouverez dans ce numéro de Sol en Seine des témoignages de nos amis du Niger et de Russie
 
Comme vous le savez c’est toute l’année que nous agissons ici et là-bas, mais la période de la campagne est un moment privilégié pour rappeler et expliquer l’engagement du Secours populaire à travers son histoire depuis 1945 : « soutenir aux plans matériel, sanitaire, médical, moral et juridique les personnes et leurs familles victimes de l’arbitraire, de l’injustice sociale, des calamités naturelles, de la misère, de la faim, du sous-développement, des conflits armés ». 
 
Nous regrettons vivement que la situation nous ait empêchés de le faire et nous souhaitons que vous preniez plaisir à découvrir dans ce numéro les nouvelles de nos partenaires au Niger et en Russie.
Nous sommes heureux bien sûr de l’aide que nous pouvons apporter aux populations mais au-delà ce dont nous sommes particulièrement fiers c’est le relais assuré par les enfants des clubs « copain du Monde » mais aussi ceux des écoles primaires et collèges ; pouvoir partager ces valeurs avec des jeunes est extrêmement réconfortant et n’oublions pas :
Nous habitons tous la même planète !   
 
Nous comptons sur chacun de vous pour relayer ces informations. De notre côté nous vous informerons dès que nous pourrons organiser des initiatives d’informations et de collectes. 
 
Article rédigée par Marie-José Laboulais, de la commission monde de la Fédération de Seine-Maritime