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Solidaribus du Secours populaire en Côtes d’Armor

Mis à jour le

Depuis juillet 2024, la fédération des Côtes d’Armor du Secours populaire français se déplace sur le département avec son Solidaribus. C’est une antenne mobile qui peut effectuer une distribution alimentaire, répondre à vos problèmes numériques, vous renseigner sur vos droits… N’hésitez pas à venir à notre rencontre si vous en avez besoin.

Nous apportons des produits de premières nécessités aux personnes dans le besoin. Nous sommes là aussi pour accompagner dans des démarches administratives via Internet. Nous sommes enfin et je dirai surtout là, pour apporter une écoute et rompre la solitude provoquée par l’exclusion sociale.

Brahim Chellali, salarié de l’association, dans Le Télégramme

Le Solidaribus 22 va pour l’instant à :

Brahim Chellali est à votre écoute dans le Solidaribus.

Avec 21 structures sur l’ensemble des Côtes d’Armor, nous couvrons déjà bien le département mais nous savons qu’il est compliqué de se déplacer dans plusieurs secteurs, avec l’absence de transports en commun ou une faible rotation des lignes. Même en possédant une voiture, le budget essence peut vite s’envoler et limiter les déplacements est devenu obligatoire pour de nombreuses personnes. « Dans les faits, dès qu’une personne accompagnée habite à plus de 15 km d’une structure, cela devient vite compliqué de se déplacer. Sans voiture, ni bus, ni personne pour vous véhiculer, c’est encore moins. »

Ici, quand tu n’as pas de voiture, tu es foutu.

Goulven Salaün, habiant de Plounévez-Moëdec dans Le Télégramme

L’objectif du Solidaribus est donc de se rapprocher au maximum de toutes les personnes éloignées des associations de solidarité costarmoricaines. Nous avons pris le temps de réaliser un diagnostic de territoire pour choisir nos destinations et nous en profitons pour remercier les étudiantes à St-Brieuc du campus Askoria (DEASS Diplôme d’Etat d’Assistant de service social) et du lycée professionnel Jean Moulin (BTSA DATR – Développement, animation des territoires ruraux) pour leur travail sur cette thématique.

Pour aller à Rostrenen, c’est un car le matin et un autre pour rentrer en fin d’après-midi. Si on a reçu des produits frais, c’est moyen.

Témoignage à St-Nicolas-du-Pélem dans Ouest France

Nous sommes en lien avec d’autres communes pour continuer le développement du Solidaribus en Côtes d’Armor et nous sommes aussi ouvert à des propositions. N’hésitez pas à nous envoyer un message : solidaribus@spf22.org

Revue de presse sur le Solidaribus