Hérault – Un stage de 4 jeunes volontaires en Grèce

En août 2022, 4 jeunes volontaires du Secours populaire de l'Hérault, étudiants en sciences politiques à l’Université de Montpellier, ont réalisé un stage d’un mois au sein du dispensaire Stasi Zois de l'île de Salamine près d'Athènes.

Quatre jeunes volontaires du Secours populaire de l’Hérault partent en mission en Grèce

En août dernier, quatre jeunes volontaires du Secours populaire de l’Hérault, étudiants en sciences politiques à l’Université de Montpellier, ont réalisé un stage d’un mois, dans le cadre de leur formation en Master 1, au sein du dispensaire Stasi Zois de l’île de Salamine près d’Athènes.

Ces jeunes volontaires, en plus d’une approche de la spécificité de l’aide humanitaire en Grèce, ont aidé au tri et au conditionnement des médicaments et du matériel médical collectés dans toute l’Europe, pour venir en aide aux malades sans couverture sociale, aux maisons de retraite et aux prisons de la région d’Athènes.

Dans un deuxième temps, ils ont également participé à la création de la cantine sociale pour laquelle nous avons apporté notre aide financière.

Nos jeunes stagiaires, qui  se sont beaucoup impliqués, ont gardé de l’accueil et de leur collaboration avec les membres du dispensaire social, un excellent souvenir.

Cette action a contribué à sensibiliser et à former ces jeunes à l’action humanitaire, objet de leurs études. Ils sont revenus riches d’une belle expérience humaine et culturelle et font désormais partie de la commission des jeunes bénévoles de notre fédération. C’est une vraie réussite, elle pourra être reconduite chaque année.

Soutien pour la création d’une cantine solidaire en Grèce

L’équipe du dispensaire social et de santé Stasi Zois, notre partenaire à Salamine près d’Athènes, s’est donnée pour mission de fournir  un repas quotidien aux personnes en grande difficulté, sans cesse plus nombreuses.

Ils ont pu bénéficier pour cela de la cession d’une ancienne taverne fermée. Le montant total du projet s’élevait à 10.000 euros.
Cependant, les moyens nécessaires étaient un peu en deçà des possibilités économiques actuelles du dispensaire, dont les ressources avaient diminué durant la période covid.

Aussi sur leur demande, nous leur avons apporté une aide de 5000 euros afin que le projet, qui est une réelle nécessité sociale et humaine, puisse se mettre en place.

Gilles Loison, pour la commission solidarité internationale.