Hommage à Christine

Hommage à Christine

Le 27 avril dernier, notre comité de Penmarch a perdu l’une de ses plus précieuses bénévoles. Christine nous a quittés, laissant derrière elle un vide immense, mais aussi une empreinte indélébile dans nos cœurs et dans l’histoire du Secours populaire.

Christine, c’était avant tout une présence. Une présence discrète mais essentielle, inlassable et profondément humaine. Investie avec force et générosité, elle ne ménageait ni son temps ni son courage. Toujours là, fidèle au poste lors des ouvertures en semaine, active dans l’organisation des distributions alimentaires, attentive aux autres, elle savait tisser des liens entre les personnes, créer des ponts entre les différences. Avec elle, chacun se sentait écouté, accueilli, soutenu.

Épouse de François, notre secrétaire général, elle formait avec lui un duo engagé, uni par les mêmes valeurs de solidarité et de dévouement. Christine était cette « courroie de transmission » précieuse, qui accompagnait François dans toutes ses démarches, des réunions locales jusqu’aux rencontres régionales, à Brest ou ailleurs. Sa parole comptait, son regard éclairait.

Parmi ses grandes joies, il y avait celle de préparer et d’annoncer les vacances. Offrir un moment de bonheur à des enfants et à leurs familles était pour elle une évidence, une mission du cœur. Sa maison résonnait alors de rires et de partages, comme un prolongement de l’esprit du Secours populaire.

Christine faisait face aux épreuves avec une rare dignité. Combative dans les moments difficiles, elle ne se plaignait jamais. Toujours un mot d’encouragement pour ceux qui en avaient besoin. Toujours cette bienveillance naturelle, ce sourire qui ne faiblissait pas.

Aujourd’hui, nous saluons avec émotion la mémoire de cette femme forte, chaleureuse et profondément humaine. Christine restera pour nous un exemple de solidarité vivante. Son absence est lourde, mais son souvenir nous accompagne et nous guide.

À François, à ses proches, à tous ceux qui l’ont aimée, nous adressons nos pensées les plus sincères.

Merci Christine.