Présentation des activités à l’internationale

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Depuis une dizaine d'années la Fédération départementale du Secours populaire présente ses activités en direction de l'International, au centre d'activités Pierre-Jacques à Fontaine-lès-Dijon. Objectifs : communiquer autour de ces actions et, pour ce qui concerne le week-end des 26 et 27 avril, montrer plus particulièrement son travail en direction Madagascar et de la Bosnie.

Samedi, un couscous qui a réuni 80 personnes autour d’un repas festif était prétexte à la découverte de l’exposition qui s’est poursuivie dimanche, avec en point d’orgue une nouveauté : la chasse aux œufs.

Les petits étaient invités dans le parc à chercher des œufs décorés en classe et à réaliser un dessin à destination de leurs petits copains de Madagascar ou de Bosnie. « Le but de cette action est de faire que ce jeune public soit ainsi auteur et acteur de la solidarité », précisent les organisateurs.
L’esprit de solidarité a d’ailleurs été préalablement mis en exergue dans les écoles de Fontaine, à l’occasion d’actions entreprises directement dans les établissements scolaires par les représentants du Secours populaire.
Durant les deux jours un stand d’objets artisanaux en provenance de Madagascar, proposait aux visiteurs d’acheter quelques-uns des divers objets présentés. Enfin, l’après-midi une conférence interactive avec films, a été donnée par Alain Lapierre sur le thème « La vie à Madagascar » avec à la clé l’évocation de sujets d’actualité tels l’économie solidaire et le commerce équitable.


Projets en cours

Avec une association locale, le Comité de solidarité de Madagascar, divers projets sont en cours autour de la santé, de l’éducation. Un centre informatique a été ouvert, qui devrait permettre aux autochtones de se former aux techniques nouvelles. Un nouveau projet a aussi vu le jour en 2008 avec la Bosnie. Parmi ses actions des microprojets pour des Centres de Loisirs afin d’améliorer le quotidien des enfants. Dans ce cadre, la Fédération départementale du Secours populaire s’est engagée à hauteur de 5 000 €.

Article paru dans « Le Bien Public«