Courses solidaires connectées
À partir du 19 mai 2021, tous les passionnés de courses qui souhaitent courir pour la solidarité peuvent le faire, seul, entre amis, en famille ou avec leurs clubs, en participant à des courses connectées, afin de soutenir les actions du Secours populaire.
Rendez-vous sur le site internet (courseconnecteesolidarite.fr) pour vous inscrire à un ou plusieurs formats de courses proposés : le challenge 5 km, 10 km, le semi-marathon 21 km et le marathon 42,2 km.
La participation d’inscription est fixée à 5€ et 2€ pour les moins de 16 ans
Découverte de la Bourgogne
Le 12 juin la course solidaire organisée par le Secours populaire de Côte-d’Or a rassemblé 12 étudiants originaires du Ghana, Congo, Togo, Sénégal, Portugal, Bulgarie, Bangladesh, Maroc ou encore d’Algérie. Un véritable groupe cosmopolite. Au départ de la place Darcy, les participants ont été transportés jusqu’à Pont-de-Pany. Ensemble, ils ont enfourché leurs vélos pour se diriger en contrebas du village de Barbirey. Une balade le long de la rivière de l’Ouche placée sous le signe de la bonne humeur.
Après une heure de sport, place au repos au Château de Commarin, un pique-nique et c’est reparti pour la visite du château par où est passée la reine mère du Royaume-Uni ! Un passage dans les jardins puis une partie de foot.
A 15h, direction l’aérodrome de Darois. Trois avions attendaient les étudiants pour s’envoler dans les airs pendant vingt minutes. Survolant Dijon et ses environs dont le lac Kir, l’ensemble du groupe a apprécié l’activité. Chaque participant est reparti avec son diplôme de baptême de l’air.
Le programme de la journée a pu s’effectuer sans encombre grâce à une météo au beau fixe. Pour finir sur une anecdote culturelle : l’un des étudiants du groupe, Henri, est l’arrière-petit-fils d’Henri Vincenot, écrivain et sculpteur, qui a écrit de nombreux succès littéraires à… Commarin, lieu de la visite !
Un grand merci au tour de France, au comte de Voguë, a l’aérodrome de Darois, aux bénévoles et aux participants !
Texte recueilli auprès des étudiants de Science Po
Crédit photo : Étudiants de Sciences Po
